On a :
Q=j=1∑n(i=j∑nij)=i=1∑n(j=1∑nij)=i=1∑n(j=1∑nij)La deuxième somme ne porte que sur l'indice de sommation
j, donc on peut sortir le terme
i1 et de fait, l'indice de sommation
j débutera à
j=1 et se terminera à
j=i, avec
i qui est "bloqué" par la première sommation sur l'indice
i. Donc, on obtient :
Q=i=1∑n(i1j=1∑ij)On reconnait dans la somme sur
j une somme bien connue, parfois appelée "somme de
Gauss", et qui vaut
j=1∑ij=2i(i+1). On a alors :
Q=i=1∑n(i12i(i+1))=21i=1∑n(i+1)De plus, en décalant l'indice de sommation, on peut écrire que :
i=1∑n(i+1)=k=2∑n+1kDonc, on obtient :
Q=21k=2∑n+1k=21(k=1∑n+1k−1)Ce qui nous permet d'écrire :
Q=21(2(n+1)(n+2)−1)Finalement, on obtient :
Q=2n(n2+3)